Découvrez les bienfaits d’une agriculture bio locale. Les cultures locales polluent moins que l’importation de produits bio par bateau ou avion. L’agriculture bio locale est bonne pour la nature
Le poids du kilomètre dans l’assiette
Les fruits et légumes bio sont naturellement sains. Pourtant, beaucoup d’aliments bio viennent de loin et sont transportés par bateau ou par avion. Manger des fruits bio qui viennent d’Amérique du Sud pollue beaucoup. Ce n’est pas bon pour la planète, et du coup, ce n’est plus tellement bio.
Le bio local est bon pour la nature
Manger des aliments naturels qui sont cultivés localement c’est réellement bio. En plus c’est naturellement frais.
Des fruits et des légumes cultivés localement garantissent moins de logistique, moins de transport et moins de pollution.
Nous pensons que le bio est bon pour notre santé et bon pour notre planète. L’envie d’un fruit sans traces de pesticides, cultivé localement, et transporté sans pollution c’est le vrai bio. L’avantage d’une agriculture de proximité est l’assurance d’un faible kilomètre entre le champ agricole et notre assiette.
Les transports locaux polluent moins
Le vélo est le transport par excellence qui ne pollue pas. La livraison à vélo est la garantie d’un fruit ou d’un légume livré sans émettre de CO2, avec zéro pollution. Le bio est une agriculture respectueuse de la nature, des cultures sans pesticides et transport sans pollution jusqu’à notre assiette.
Découvrez notre plateforme pour commander vos fruits et légumes Bio d’Alsace : https://www.proxieat.com
Découvrez ce qu’est le mouvement locavore. Les locavores préfèrent consommer des produits fabriqués localement que ceux importés par bateau ou par avion. Que ce soit des fruits cultivés dans une ferme régionale, ou une chemise fabriquée en France, les temps de transports sont diminués, et la pollution aussi. La planète respire et la nature nous dit merci. Et si c’était ça le vrai bio ?
Protéger la nature et l’environnement
Le locavore se fournit avant tout chez des producteurs locaux et régionaux. Les circuits courts polluent moins que les circuits longs. Moins d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur final signifie moins de transport et moins de pollution. Une belle tomate cultivée dans un petit village régional a généré moins de pollution que celle importée depuis l’Amérique du Sud. C’est le poids du kilomètre dans notre assiette : la quantité d’émission de CO2 nécessaire pour qu’un produit atteigne le consommateur.
L’agriculture locale
L’agriculture locale est bonne pour la nature. La proximité entre le consommateur et le producteur bio diminue les distances. C’est moins de transport par camion et moins de pollution. L’agriculture locale génère moins de gaz à effet de serre car le consommateur final se trouve à proximité.
Pour prendre encore plus soin de l’environnement, il faut s’assurer que l’agriculture est bio.
Attention : le local n’est pas toujours bio
Manger local n’est pas toujours sain. Tous les champs agricoles ne sont pas bio. Pour cela, on vérifie le petit label bio sur l’étiquette de l’aliment. Pas de pesticides ou de méthodes chimiques, juste du soleil, de la terre et de l’eau.
Bien sûr, tous les fruits ou légumes bio ne peuvent pas être cultivés localement et un minimum de transport par camion est parfois nécessaire. Une alimentation saine comprend beaucoup de nutriments. Pensez aux fruits exotiques. Ne vous privez pas d’un délicieux fruits transporté par camion. Les ananas alsaciens ne sont pas encore pour demain.
L’agriculture bio est responsable, bonne pour la nature et non polluante.
Bonne pour l’environnement
L’agriculture Bio, c’est aucun pesticide et zéro produit chimique, et la nature aime ça. Les agriculteurs bio laissent leurs fruits et légumes grandir naturellement. Un fruit qui pousse sans être traité par des pesticides renforce ses défenses naturelles. Il produit plus d’antioxydants et plus de nutriments. Une bonne tomate nous offre ce que la nature a de meilleur. Le bio c’est encore plus délicieux et ça fait du bien à la terre.
La culture bio a un impact favorable sur l’environnement : préservation de la biodiversité, eaux de meilleures qualités, terres plus fertiles. Les agriculteurs responsables font attention à ne pas abîmer la nature pour qu’elle se renouvelle chaque printemps.
Bonne pour diminuer la pollution
L’agriculture Bio de proximité rapproche les gourmands des agriculteurs responsables. Diminuer la distance entre le champ agricole et notre assiette, c’est moins de transports et moins de pollution. Les circuits courts polluent moins que les circuits longs. Moins d’intermédiaires sont présents entre la ferme et le consommateur. N’est-il pas incohérent de vouloir moins de pollutions et de manger des fruits importés par avion ou bateau depuis l’Argentine ? Le transport non polluant comme le vélo est le meilleur allié de l’agriculture locale.
Bien sûr, tous les produits Bio ne peuvent pas être cultivés localement et un minimum de transport par camion est nécessaire. Une nourriture saine comprend beaucoup de nutriments. Pensez aux fruits exotiques. Les noix de coco alsaciennes ne sont pas encore pour demain.
Découvrez nos nouveaux fruits et légumes Bio pour le mois de Juin, pour la saison Alsacienne. Les fruits et légumes sont tous issus des fermes alsaciennes. Les produits Bio respectent les conditions climatiques d’Alsace et la nécessité des rotations des sols. C’est le made in Alsace.
Fruits et légumes bio de juin : quelles nouveautés ?
Pour cette fin de printemps les champs alsaciens nous offrent leurs merveilles. Au programme, framboises, groseilles, carottes, courgettes, betteraves, brocoli et choux. L’été s’annonce savoureux !
Framboises et groseilles, reines de juin
Les framboises et les groseilles bio sont prêtes pour ce moi de Juin. Ces magnifiques fruits rouges sont idéales pour cette fin de printemps. Les framboises offrent leurs douces saveurs et les groseilles leurs inimitables goûts acidulés. Ces fruits poussent tout l’été.
De délicieuses carottes
La carotte bio qu’on ne présente plus, est le légume roi de ce mois de Juin.
Nos autres légumes : courgettes, choux…
Pour cette fin de Printemps, les carottes seront accompagnées de courgettes, brocoli, betteraves et de choux blanc, frisé ou rouge. Tous nos légumes sont bio. Ils poussent jusqu’en automne.
Cette année certains fruits et légumes seront en avance ou en retard. Le mois de mai de cette année fait parti des mois de mai les plus froid de France.
Tous nos fruits et légumes bio viennent de l’agriculture locale. Nos produits sont issus de fermes alsaciennes. C’est le Made in Alsace. Nos fruits et nos légumes du mois de juin continueront à pousser cet été. Ainsi, on pourra savourer de belles framboises et de superbes carottes tout l’été.
Découvrez notre plateforme pour commander vos fruits et légumes Bio d’Alsace : https://www.proxieat.com
Depuis quelques années
le Bio est devenu tendance en France. Aujourd’hui, un grand nombre de
collectivités ont passé aux produits bio pour leur restauration collective en
France. Le Bio est présent dans les cantines de la maternelle jusqu’au lycée.
Le nombre de français qui consomment au moins un produit bio par mois ne
cessent de progresser tous les ans.
Les chiffres du Bio pour
année 2017 en France
On avait plus de 36 664
producteurs ce qui représentait une croissance de l’ordre de 13,6 % par
rapport à 2016. L’ensemble de la surface dédiée au Bio s’est élargi à 77
million ha en 2017 soit une hausse de 6,5 % par rapport à l’année précédente
dont l’ensemble des surfaces dédiées au Bio représentait à peine 5 % de la
surface totale en France. On est passé à 4 752 distributeurs soit une
croissance annuelle de 18 %. La valeur de la production biologique en France,
en 2017, représentait près de huit milliards d’euros, alors que l’ensemble de
la valeur de la production agricole française s’établissait à 70,7 milliards
sur la même année. Le Bio représente plus de 10 % de l’agriculture Française.
La France dans l’Union
européenne.
La France est en
troisième place concernant la surface affectée à l’agriculture biologique en
France. Seules L’Espagne et l’Italie devancent la France.
Les Français sont le
deuxième plus gros consommateur de Bio à l’intérieur de l’union européenne
juste derrière les Allemands.
Le Bio en Alsace
La région du Grand Est
est septième au niveau national par rapport au nombre de producteurs certifiés
agriculture biologique (AB). En effet avec plus de 2 223 producteurs en 2017
elle affichait une croissance de 13,4 % par rapport à l’année précédente, cette
production s’est développée sur une surface de 127 854 ha soit à peine 4,2 %
dans la surface agricole totale du Grand Est.
Le Bio sur le
territoire Alsacien
Pour 2017, le constat
était le suivant:
18 826 ha certifiés BIO et
3 834 ha étaient en conversion. L’agriculture biologique représentait 6,7 % de
la surface agricole alsacienne. Le pourcentage de surface en agriculture
Biologique en Alsace est supérieur à la surface nationale. En Alsace 11 % de
l’emploi agricole est dans le bio.
Les perspective du Bio
en France
Le 23 mai 2018, les
États membres ont adopté un nouveau règlement sur le BIO, dont l’objectifs est
d’assurer plus de traçabilité et de qualité des produits issus de l’agriculture
biologique.
L’information la plus
importante pour le secteur du Bio, cette année est la confirmation du
gouvernement de supprimer l’aide au maintien en agriculture biologique durant
le mois de septembre 2018. La suppression de cette aide est un mauvais signal
pour l’agriculture biologique à long terme, car même si le gouvernement tend à
privilégier plutôt une aide au passage à l’agriculture biologique,
Cette mesure peut avoir
des effets néfastes sur la filière à long terme. Cette aide représentait bien
souvent une part importante du revenu des producteurs.
L’aide au maintien dans
le bio en Alsace
L’état a transmis ce
dispositif aux régions. Elles peuvent décider de la maintenir ou de la
supprimer. Les fermiers alsaciens se retrouvent dans l’un des régions ou l’aide
au maintien a été supprimé.
En Alsace
comme dans les autres régions, l’agriculture biologique représente une part
dans l’agriculture générale. Actuellement, le bio représente seulement 10 % de
l’agriculture générale, elle affiche une croissance de plus de 10 % par an. On
assiste aussi à un changement des petits exploitants agricoles qui vont passer
dans un premier en agriculture raisonnée avant de passer au Bio.
Maintenant, c’est aussi au consommateur de choisir l’agriculture qui veut dans son assiette en Alsace et ailleurs. À long terme le Bio s’imposera comme l’agriculture traditionnelle. La dernière étude de l’agence du Bio, les jeunes sont les plus motivés pour le Bio.
Découvrez notre nouveau pour manger Bio et zéro déchet à Strasbourg
Le zéro déchet une aspiration mondiale pour protéger la biodiversité
Le
zéro déchet est un mouvement mondial, qui vient des citoyens non des politiques
qui veulent répondre aux enjeux du rechaussement climatique. Ce mouvement est
inspiré de la célèbre phrase du président américain John Fitgerald Kennedy « Ne
demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire
pour ton pays ». Aujourd’hui, il faut que vous vous demandiez ce que vous
pouvez faire pour la planète. Les changements de mentalités doivent venir en
partir des citoyens pour lutter efficacement contre le rechaussement
climatique. La protection peut aussi passer des gestes du quotidien. C’est le
principe philosophique du zéro déchet. Quelle que soit notre situation, nous
pouvons agir pour la préservation de la planète.
Un
petit historique du mouvement zéro déchet
Le
mouvement zéro déchet est aux États-Unis dans l’État de Californie, à la fin
des années 1980. Ce mouvement a été développé dans la communauté hippy, dans un
premier temps. Il est l’un des héritages de la culture Hippy. C’est durant ses
années, on a commencé à prendre conscience les problèmes surtout dans les grandes
villes occidentales. Le zéro déchet et le minimaliste sont devenus une évidence
pour certains, c’est notre soif de possession de bien matériel qui nous conduit
à détruite notre planète.
La
démocratie du mouvement
La
pionnière du mouvement est Béa Jonson auprès du grand public. Elle a popularisé
le mouvement avec son ouvrage intitulé « Zéro déchet, comment j’ai réalisé 40 %
d’économie en réduisant mes déchets à moins d’un litre par an ! ».
Elle est aussi devenue blogueuse. L’autre facteur qui a permis la prise
conscience sur la nécessité de réduire nos déchets, est la découverte l’océan
plastique dans l’océan Pacifique. Cela nous a permis de mettre le lien entre
nos modes de vie et ses conséquences sur la planète. En France, en 2004, on a
commencé à voir émerger le mouvement zéro déchet.
Définition
du zéro déchet
Définition
Wikipedia.org
Le
zéro déchet est une stratégie holistique de réduction de la quantité de déchets
produit par la civilisation industrielle. Elle s’appuie d’une part, sur la
modification des processus de production en encourageant la re-conception et
des cycles de vie des produits. Il repose aussi sur la valorisation des
déchets.
La seconde définition de l’ADEME
Pratiques
visant à réduire au maximum les déchets durant les différents stades de sa
production.
Le
zéro déchet c’est quoi
Les 5 commandements du zéro déchet
Le
zéro déchet repose cinq principes que chacun peut mettre en place sa vie
quotidienne dont le but de tendre vers zéro déchet.
Refuser :
tout ce que vous n’avez pas besoin, car parfois, on a tendance l’accepter tout
dans la vie courante tout ce qui est gratuit même, on ne va pas utiliser en
espérant un jour qu’on utilisera. Refuser tous les produits non-réutilisables
pouvant représenter un danger pour toi et la planète.
Réduire :
certains produits ne sont pas leur équivalent plus propre ou réutilisable, dans
ce car il faut réduire un maximum leur utilisation. Dans ce cas, il faut avoir
une utilisation minimaliste dans ses produits.
Réutiliser :
dans la vie courant, beaucoup de produits peuvent être utilisés plusieurs fois,
mais souvent, on a tendance à préférer le jeter du fait que son coût de
remplacement soit très faible. Nous
devons adopter la bonne attitude avant même l’achat du produit. Bannir les
produits non-réutilisables dans notre liste de courses quand c’est possible. Un
exemple, préféré les sacs en tissu ou en autres matières recyclables plutôt que
des sacs en plastique. Pour faire vos courses, il ne faut pas exister à faire
des brocantes et de vie dressing.
Recycler :
en France, seulement 39 % de nos déchets sont recyclés en 2017. Pour les
déchets ménagers, ce taux passe à 20 % de nos poubelles. Ce taux de recyclage
est dû à plusieurs raisons les déchets qui ne sont pas placés dans la bonne
poubelle et l’absence de volonté politique locale.
Composter :
le compost est l’application de la maxime d’Antoine Lavoisier « Rien ne se
perd, rien ne se crée, tout se transforme ». C’est de rendre à terre ce
qu’il nous a donné. Vos restes alimentaires seront plus utiles dans un compost
que la poubelle.
Le
zéro déchet est un mode de vie plus simple. Avant même l’achat du produit, je
dois me demander s’il sera possible soit de réutiliser ou de recycler. Choisir
des produits qui offrent un emprunt environnemental le plus faible que
possible.
Découvrez notre programme pour passer en zéro déchet à Strasbourg
Proxieat, des produits locaux bio en zéro carbone et zéro déchet. Ignorer
En continuant à utiliser le site, vous acceptez l’utilisation des cookies. Plus d’informations
Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.